Depuis le 1er janvier 2017 et l’entrée en vigueur de l’article 58 de la loi ALUR du 24 mars 2014, l’assemblée générale des copropriétaires doit se prononcer sur l’opportunité de faire réaliser, par un tiers, un diagnostic technique global pour tout immeuble à destination partielle ou totale d’habitation relevant du statut de la copropriété.
Au regard de l’ensemble des exigences en matière de compétences et de qualifications, le diagnostic technique global des copropriétés rentre naturellement dans le champ d’intervention de l’ architecte.